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La dernière étape consiste en la retranscription sous forme de texte de l’information. La première information, le QR code, étant passé par différentes étapes, finit par révéler un texte qui s’affiche dans la vitrine de l’atelier.

Les programmes se déroulent dans des contextes spécifiques.

Les phrases sont inspirées des théories et des écrits de Gregory Bateson, Paul Watzlawick, Erving Goffman et d'autres chercheurs de l'école de Palo Alto. Cependant le texte original correspondant au QR code ne se retrouvera pas forcément dans son intégrité à l’arrivée.

Est-il possible de classer les degrés et les types de malentendus ?

En effet la présence des visiteurs dans l’espace va jouer comme un élément perturbateur de la bonne lecture et retransmission des signaux.

 

En passant devant un faisceau lumineux, ou en produisant du son par exemple, chacun peut par sa présence, sa parole et ses déplacements brouiller partiellement les données qui circulent.

L'erreur est une généralisation impropre d'une expérience personnelle terrifiante.

L’information évolue alors à la manière d’une rumeur et le texte obtenu au final peut relever de l’inattendu.

Ce décodeur de QR code démesuré au delà de l’objet, plutôt que d’être rapide, efficace, petit et portable, apparaît dans ces déficiences : intransportable, lent, inexact et potentiellement absurde.