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    MMXI    
 



 
























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Avec MMX I, exposition présentée dans le cadre des « Façades », Michel Martin propose un espace de circulation de signaux entre les deux vitrines d’Aperto (celle de la galerie étant le point de départ et celle de l’atelier le point de lecture final) et un jeu de perturbations de ces signaux par la présence des visiteurs.

Le contenu de la conversation est lié à la distance entre participants.

Par le biais d’un QR code, que chaque visiteur aura reçu sur un carton d’invitation, téléchargé à travers un lien qui lui a été communiqué, ou trouvé à sa disposition à son arrivée sur les lieux, s’offre la possibilité de déclencher un nouveau cycle de réactions en chaîne.

Comment savons nous qu'ils ont été correctement identifiés ?

 

A partir de cette première information, une série de transformations se succèdent à la façon de l’effet domino. L’information est lue par une caméra, retranscrite sous une autre forme (image, son, lumière ou couleur) puis projetée ou diffusée vers la caméra ou le micro suivants et ainsi de suite à travers six étapes différentes.

Tout signal qui dérape s'égare.

Cette circulation de données virtuelles et physiques habite l’espace d’Aperto avec des codes visuels et sonores, mais aussi avec le matériel technique qui les analyse, transforme, diffuse : caméras, ordinateurs, projecteurs, micro, lecteur etc…

La langue doit être considérée comme une transaction.