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Le 7eme continent DN
   

le 7ème continent, à la fois réel et fantasmé, évoque un univers lointain, ouvert à tous les possibles, mêmes les moins désirables. Il est ce potentiel de liberté et d’évasion, ce terrain de jeu que Casanova crée, investit et arpente une grande partie de sa vie. C’est la capacité de Casanova à s’adapter à ce terrain en perpétuel mouvement, à se transformer suivant les événements qu’il rencontre qui est au coeur du projet.

Tout comme Casanova invoquait son génie Paralis, il s’agit d’utiliser la figure du robot «transformer», non pas celle du pantin réduit uniquement à une mécanique stupide, représentation fréquente de Casanova, mais celle au pouvoir de transformation et de transmutation, trouvant dans chaque événement son point d’échappement, afin de créer cet espace de l’évasion, ce 7ème continent et de tracer sa trajectoire.



le 7ème continent propose la création d’un espace transformationnel en perpétuelle mutation, tel un terrain en constant devenir, l’espace de l’évasion. C‘est le lieu même de la galerie qui est le support de cette simulation / expérimentation. C‘est la trajectoire de Casanova qui en définit les paramètres à travers la fiction filmée du Casanova de Fellini.
C’est le mouvement du film qui transforme l’espace, celui-ci se reconfigure à chaque image du film et se développe sur plus de deux cent milles mutations, correspondant aux deux cent milles images du film.
L’installation se développe sous la forme d’un dispositif spatial qui s’articule d’une part à partir de la simulation virtuelle des transformations de l’espace de la galerie et d’autre part d’une matérialisation en structure dans le lieu même de la galerie d’une des mutations générées.




















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