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    Cutlog New-York 2013    
 

 




























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Gaëlle Chotard (vit et travaille à Paris).

G. Chotard conçoit des volumes aériens qui se déploient dans l’espace en un équilibre subtil. Ses formes fragiles et suspendues peuvent se regarder comme des dessins filaires (3D), réinterprétés par la main et replacés dans l’espace réel. «Ancienne élève d’Annette Messager aux Beaux-Arts de Paris, Gaëlle Chotard sculpte, dessine et filme un univers étrange et poétique qui nous hante. Elle tricote avec précision des formes organiques entre noeud lymphatique et rhizome. (…) Ses sculptures sont juste retenues par un fil sans lien avec les autres; elle réalise également des oeuvres toute en expansion chacune des cellules étant reliée aux autres comme dans un système vivant. (…) C’est un système à entrées et sorties multiples même si la notion d’histoire et de parcours reste importante.» Valentine Meyer Gaëlle.

«Les Idées noires sont de minutieuses oeuvres de tricot, des petites créatures arborescentes, des mollusques ou encore des végétaux finement cousus de fil noir. Commeles rejetons informes d’un imaginaire étrange ettourmenté, minuscules et pourtant si présentes sur le grand mur blanc, elles semblent douées de vie et prêtes à composer un théâtre en ombres chinoises totalement fascinant.» Clémentine Aubry, paris-art, septembre 2003.

G.Chotard participe à de nombreuses expositions et foires internationales. Elle est actuellement représentée par la galerie Claudine Papillon, Paris.

http://gaelle.chotard.free.fr

 

DN (vit et travaille entre Montpellier et Paris).

Le duo (Laetitia Delafontaine et Grégory Niel) développe une démarche d’expérimentation qui porte d’une part sur l’espace, le lieu et sa représentation dans leur articulation et leur relation avec les nouveaux médias et d’autre part sur les spécificités des processus liés aux technologies cinématographiques, numériques et virtuelles, et leurs incidences sur les processus artistiques. Ils conçoivent des propositions, dispositifs, installations où ils questionnent le lieu comme espace de représentation dans ses dimensions projectives, fictionnelles et critiques. La référence au cinéma est un élément récurrent, à la fois comme point d’entrée commun et collectif et comme source de recherche dans leur démarche. Lors d'une exposition personnelle à la galerie du Rutebeuf à Clichy-la-Garenne, il s’agissait d’interroger la pratique du train fantôme à travers le thème de la peur dans le cinéma. Dark ride (ou parcours noir) fait référence au nom donné au parcours scénique au long duquel des tableaux dramatiques sont figurés ou joués dans le but de créer un univers fantastique. Dark ride propose un parcours à travers les figures et les lieux du cinéma de genre qu’est l’horreur.(…) C’est un travail sur ces images mentales (lieu, figure et objet), comme des persistances rétiniennes, qui nous restent ou nous habitent et constituent ce fond, ce terreau commun et collectif qui ré-émerge sous différentes formes dans notre environnement culturel.(…) Les pièces renvoient à des films précis.(…) Ainsi love stars est la modélisation des projections de sang provoquées par la chute du seau dans le film Carrie de Brian De Palma.

http://www.a-dn.net